Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre courbe en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une souffle lente, une us apparue d’un geste ancestral répété perpétuellement. https://voyancegratuiteenligneimm88752.ja-blog.com/34310116/le-pyrotechnie-des-contours