Au concentrer de la journée, la lumière traversait l’air sec en fines particules dorées, avivant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait continu devant le téléphone satellitaire, encore activé, comme suspendu à une onde plus ancienne que la voix de l'homme. Les derniers données https://garrettzoxej.therainblog.com/32925932/les-pendules-du-vent