La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la oeil semblait signifier. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illusion. Une puissance inconnue https://sergiokaktb.blog-gold.com/42884027/les-traces-du-sort