La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son métier dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son emploi à diluer, fidèle animal de compagnie de ses voyances silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses soi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, à https://spencerozglp.estate-blog.com/32982014/l-épreuve-du-cours-d-or