La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste de travail dans l’ombre tamisée de son fabrique. Son job à mentir, fidèle animal de compagnie de ses voyances silencieuses, laissait se transformer des fils d’or et de soie entre ses main. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque https://louishxiry.fireblogz.com/65088679/les-fils-du-sort