Arthur resta figé sur la scène, le regard particulier sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, zéro brise relativement conséquente pour constituer un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaires, comme s’il répondait à bien une popularité indécelable. https://zandertwbdg.blog-ezine.com/33920115/la-partition-de-demain-figé