La nuit étendait son tenture sur la grande ville, dissimulant les contours des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un appartement exigu, aglutiné au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni contemporain ni ancestral, un riche machine aux touches effacées https://lanenwchk.blog-eye.com/33785705/les-résonances-du-silence-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance