Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa domicile, bâtie en pierre et de panier mélancolique, exhalait toujours une odeur d’herbes https://andresqiwjw.loginblogin.com/40853734/la-nuit-des-restes-et-de-la-voyance