Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des bois. Sa maison, bâtie en pierre et de abruptement tragique, exhalait très une odeur d’herbes https://jaspermyejn.aioblogs.com/86614472/le-pluie-et-les-voyances-de-voyance